Après son mariage avec Louise-Henriette de Ruffray, une cousine éloignée,, il s'installe à Paris, au début des Années 30, rue du Pré-aux-Clercs et plus tard rue Sédillot.
Il travaille dans une compagnie d'assurances, La Providence, pendant plus d'une dizaine d'année où il exerce son métier de juriste.
Il prend contact avec Jacques Maritain et lui soumet ses premiers poêmes. Celui-ci l'encourage à poursuivre. Pour autant, il s'intéresse au Surréalisme et sur les conseils d'un de ses amis Jean Maury, libraire à Poitiers, il entre en contact avec André Breton et le Groupe surréaliste.
La Seconde Guerre mondiale interrompra provisoirement cette relation et la publication d'un premier ouvrage sur Eluard et Claudel où il explore les "Cosmos" de deux poésies qu'apparemment tout sépare. Cet ouvrage ne paraîtra qu'après la Libération.
La Seconde Guerre mondiale interrompra provisoirement cette relation et la publication d'un premier ouvrage sur Eluard et Claudel où il explore les "Cosmos" de deux poésies qu'apparemment tout sépare. Cet ouvrage ne paraîtra qu'après la Libération.
Mobilisé en 1940, il réussit à échapper à l'armée allemande et se réfugie en Zone libre. Pendant l'Occupation, il commence à rédiger les premières pages de son ouvrage sur André Breton, A.B. et les données fondamentales du Surréalisme. Après le retour des Etats-Unis d'André Breton, Michel Carrouges reprendra contact avec celui-ci. A l'invitation d'André Breton, il participera aux réunions du Groupe surréaliste place Blanche.
Dans le même temps, il devient Rédacteur en chef de la revue Fêtes et Saisons aux Editions du Cerf dirigées par l'Ordre des Dominicains. Cela l'amènera à écrire plusieurs biographie sur le Père de Foucauld et d'autres figures du Christianisme. Cette "cohabitation" lui vaudra l'exclusion du Groupe surréaliste mais n'empêchera nullement, par la suite, de garder avec André Breton une amitié et une estime réciproques.
A la même époque, il s'installe avenue de La Motte-Picquet.Au début des années 50, il rencontre Marcel Duchamp et rédigera un ouvrage intitulé Les Machines célibataires en se servant de La Mariée mise à nu par ses célibataires, même comme fil conducteur.
Il s'intéressera aussi à l'œuvre de Franz Kafka pour mettre en lumière ce que les écrits de celui-ci apportent pour mieux comprendre les ressorts de l'aliénation sociale. Ressorts dont l'apparente "absurdité" n'est que le miroir aux alouettes des vrais détenteurs d'un pouvoir.
Il sera aussi l'auteur de plusieurs Nouvelles de Science-fiction, ainsi que deux romans, Les Portes dauphines et Les Grands-Pères prodiges.
Plus tard, Michel Carrouges entreprit d'écrire plusieurs ouvrages sur le Père de Foucauld, lui aussi au carrefour d'une rencontre entre les Spiritualités musulmane et chrétienne. Rencontre qui ne pouvait que susciter l'intérêt de Michel Carrouges, lui qui au contact de la Spiritualité bouddhiste repris le chemin de la Spiritualité chrétienne.
Plus tard, Michel Carrouges entreprit d'écrire plusieurs ouvrages sur le Père de Foucauld, lui aussi au carrefour d'une rencontre entre les Spiritualités musulmane et chrétienne. Rencontre qui ne pouvait que susciter l'intérêt de Michel Carrouges, lui qui au contact de la Spiritualité bouddhiste repris le chemin de la Spiritualité chrétienne.
Par la suite, il s'intéressera à un mythe moderne, les "Soucoupes volantes" que l'on voyaient à cette époque envahirent les cieux de France, des USA et bien ailleurs encore. Il écrira à ce propos Les Apparitions de Martiens pour tenter de décrypter les témoignages et en faire ressortir les convergences et les incohérences.
Peu après, une cécité précoce, l'obligera à cesser toutes activités littéraires régulières.
Il décède en 1988 à son domicile avenue de La Motte-Picquet à Paris.
Vous pouvez aussi consulter le blog http://michelcarrouges.over-blog.com/